Foussais-Payré
Commune se trouvant au Nord-Est de Fontenay-le-Comte, de l'époqque romane l'église Saint-Hilaire à gardé sa façade. La
corniche soutenue par des modillons marque la limite de la partie ancienne.
Comme vous pouvez le voir, cette église se trouve actuellement sur le bord de la route qui traverse cette localité de ce fait les
piétons sont obligés de passer sous les arcades pour circuler.
Certains modillons ne sont pas protégés des intempéries ce qui leur donne un aspect noirâtre.
Voici les modillons de la corniche, nous nous excusons de la mauvaise qualité des images.
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1 - Il ne reste plus grand chose de ce modillon, vous pouvez encore voir ce qui semble une tête et de restants de bras. Il
devait s'agir d'un personnage qui devait se retourner.
Réflexion du modillon, je ne me reconnais plus.
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2 - Celui-ci est plus complet. Il s'agit comme vous pouvez le voir d'un animal, la tête tournée vers la gauche nous regardant
Cet animal fait penser à une otarie, c'est pour cela que nous disons, curieux, car cet animal n'est pas commun dans la sculpture
romane. C'est le seul que nous connaissons, mais est-ce bien une otarie ?
Mais si nous regardons mieux, nous pouvons voir deux pattes sortant d'un manchon de consolidation en ciment. d'ou
viennent ces deux pattes ?
Réflexion du modillon, ou mon créateur a été chercher cet animal ?
3
3 - Ce modillon comme vous pouvez le voir personnifie l'Ivrognerie. Vous voyez un personnage de dos, assis, qui soulève
un baricaut à hauteur de sa bouche pour boire goulûment par le trou de remplissage.
Réflexion du modillon, c'est exact.
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4
4 - Ici un personnage représenté par un visage âgé, grandes moustaches, barbe bien fournie, il nous regarde. Il faut
remarquer que sa barbe se termine par deux petits barbillons arrondis. Il faudrait reprendre une meilleure photo pour voir si il
ne s'agit pas de pattes d'un animal.
Réflexion du modillon, je ne croit pas que je cache un animal.
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5 - Vous voyez ici un personnage, il est à genou. Il est habillé d'une robe, ses bras sont levés, les mains à hauteur de la
tête, celles-ci sont tournées vers le devant, position pour soutenir un fardeau au dessus de sa tête, ou qu'il le maingien sur ses
épaules.
Seulement le bras droit est relevé au-dessus de son épaule, nous ne voyons pas si de ce côté la main tient quelque chose.
Le bras gauche est levé seulement jusqu'à sa bouche, comme si la main tenait un objet. Nous ne savons pas ce que représente la
partie en rouge ?
Réflexion du modillon, ce n'est pas ce que l'on nomme couramment sous le nom "Atlas", car ici vous voyez lesmain ne
soutiennent aucune charge.
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6 - Ce modillon vous montre une belle tête de lion, gueule ouverte, langue tirée, les pattes avant sont visiblme.
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7
7 - Un autre personnage qui semble lui aussi souffrir sous le fardeau qu'il porte sur son dos. Ses deux mains sont devant lui,
proches l'une de l'autre sur son côté droit, il porte donc quelque chose sur son épaule droite, ses mains tenant l'extrémité de cette
charge.
Réflexion du modillon, rien à dire.
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8 - Tous les personnages que vous venez de voir avaient une allure humaine, celui-ci est différent. Il ne porte rien, il est habillé
d'une robe, sa main gauche est appuyée sur sa hanche. Vus de face il semblerait que ses deux jambes sont entourées par une robe
plissée, de face, ne forment qu'un pied, comme un pion d'échec. Mais la vue de côt vous montre une autre image de ce personnage. Il
est de côté, appuyé sur le tailloir du modillon, sa main droite tient un objet à hauteur de son visage. Le pied de sa jambe droite est posé
sur ce qui semble être un petit animal. Le pied gauche est posé sur ?
Réflexion du modillon, rien à dire.
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9 - Vous voyez ici un personnage assis, les coudes sur les cuisses. Cette position laisse supposée que son sexe devait être
visible.
Réflexion du modillon, possible
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10 - Ce genre de sculpture a un nom, on la trouve dans différentes régions française, il s'agit de "La Tireuse d'Epine".
La position de sa tête, son air malheureux, nous invitent à venir la voir. Il semble que l'épine n'est qu'un prétexte, car
elle nous montre bien autre chose, que l'imagier a bien su faire ressortir dans la sculpture. Son sexe de femme, grande porte
ouverte vers l'acte sexuel qui vous conduira vers...
Cela peut montrer aussi qu'il faut d'abord extirper l'épine (qui correspondrait au péché) avant d'entrée dans une vie
spirituelle.
Thomas d'Aquin affirme que Dieu, pour pousser l'homme à la procréation joignit le plaisir à l'union sexuel.
Martin le Maistre (1432-1481): écrit: "...Et a ceux qui doutent que le plaisir puisse être recherché comme une fin
capable d'être rapporté à Dieu, il retorque qu'Aristote permet d'utiliser le plaisir à une honnête fin; par conséquent il
est possible de l'utiliser pour Dieu".
Isaie:dit:
Le Jésus des Évangiles a une attitude très personnelle avec les prostituées qu'il traite amicalement et qu'il donne en
exemple de foi: " En vérité je vous le dis, les publicains et les prostituées arrivent avant vous au royaume de Dieu"
(Matthieu 21,31). La prostituée est coupable d'une grave faute morale mais elle peut être sauvée par la foi"
Par la suite, la tradition chrétienne considère la prostitution comme le moindre mal. Les Pères de l'Église en témoignenet,
Saint Augustin au IVe siècle qui estime qu'elle est naturelle et permet de protéger les femmes honorables et les jeunes filles du
désir des hommes, jusqu'à Thomas d'Aquin au XIIIe siècle, qui juge qu'elle est nécessaire à la société comme les toilettes à une
maison; cela sent mauvais, mais sans elle (s), c'est partout dans la maison que cela sentirait mauvais. La prostitution est d'ailleurs
tellement naturelle que, pour plusieurs théologiens, il est préférable qu'une femme y pousse son mari plutôt que de consentir
à certains rapports sexuels considérés, eux, comme de graves péchés.
On peut voir dans l'intitulé "tireur d'épine" un jeu de mot tel que "Tireuse de pine (pine = membre viril)" tout du moins
dans les représentations féminines
Sur l'archivolte du grand portail vous pouvez voir cette image, elle nous montre une autre femme qui soulève sa robe pour
nous montrer son sexe.
Une autre image féminine du tireur d'épine, eglise de Grandson (canton de Vaud, Suisse)
Notes sur le Tireur d'épine
Le vrai tireur d'épine est un bronze antique de 73 centimètres datant du 1er siècle avant J-C., représentant un jeune garçon
nu assis sur un rocher en train d'extraire une épine de son pied gauche. Cette oeuvre est très connue au Moyen-Age, elle était placée
devant le palais du Latran à Rome.
A partir de la fin du XVe siècle, la réputation de cette sculpture est bien établie.
Comment un sculpteur de Vendée a-t-il pu s'inspirer de cette statue pour représenter ce modillon ?
Cette statuette représente un jeune homme nu et non une femme comme ici. Des historiens d'art ont donné plusieurs
interprétations de ce bronze.
1 - Il aurai tété identifié à un personnage biblique, Absalom, fils de david, renommé par sa beauté.
2 - A un jeune berger, Cneius Martius, qui aurait sauvé Rome en portant au Sénat un message urgent, ne s'arrêtant pour
extraire l'épine qui lui blessait son pied qu'après avoir accompli sa mission.
3 - Saint-Pierre de Melle : le pélerin provenant de Saint-Maixent ou de Poitiers est accueilli par un symbole jacquaire, le
Tireur d'épine. Il se situe sur un modillon du chevet et sera répété à l'intérieur de l'église sur un chapiteau de la nef. C'est l'image du
pélerin s'extirpant une épine du pied.
4 - Un tireur d'épine daté du XIIe siècle) conservé au musée du Puy-en-Velay (Haute-Loire) était initialement placé sur le
clocher de la cathédrale, il était situé à côté de la représentation des Vertus.
5 - Vous pouvez voir aussi dans la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vezelay un chapiteau avec un Tireur d'épine au pied
d'un rosier:
Entre temps évangéliques et le triomphe du christianisme au IVe siècle, l'opposition entre la chair et esprit grandit. La chair,
celle que le Christ a revêtue pour sauver l'humanité, se voit surtout imaginée dans son aspect corruptible, et la sexualisation de la nature
humaine est mise en évidence; le charnel devient sexuel. Le péché originel est assimilé au péché de chair. Saint-Augustin affirme à
plusieurs reprises qu'il se transmet par la concupiscence et fut légué à l'homme par l'acte sexuel.
Tous cela est bien loin de notre modillon qui représente une femme.
Réflexion du modillon, je représente une femme, une prostituée, une tireuse de pine (pine étant un mot figurant le sexe
masculin) c'est un jeu de mot.
Les chapiteaux de cette corniche
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13 - Double chapiteaux corinthiens, représentant du feuillage stylisé.
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14 - Chapiteau double , vous voyez la représentation à l'identique de deux lions, un à droite, l'autre à gauche. Ils semblent
surveiller les alentours. Entre eux, un homme plié à l'horizontal, les mains sur le sol, la tête tournée vers vous, se trouve au dessus d'une
plante. Que fait-il dans cette position ? Il y a quelque chose au dessus de son dos, nous ne savons pas ce que cela représente.
Réflexion du chapiteau, je n'en sais rien.
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15 - Chapiteau double, vous voyez ici deux animaux fabuleux, qui comme les lions précédents, surveillent ou montent la garde.
L'animal de droite pourrait être un griffon,, mais il n'a pas d'aile, sa tête ressemble à celle d'un oiseau nocturne (hibou, chouette),
sa tête est entourée d'une collerette de plumes. Le corps est celui d'un lion, sa queue passe sous ses pattes arrières et remonte sur son
flanc droit en se terminant par deux grandes feuilles recourbées sur son dos.
L'animal de gauche est aussi curieux, l'avant est bien ,celui d'un aigle, tête, pattes, ailes. L'arrière sont bien celui d'un coq.
Longues pattes avec des griffes, mais la queue est dissimulée derrière l'autre animal.
Sur les côtés deux autres animaux fabuleux.
A droite, cet animal semble avoir un corps de carnassier, pourtant ses pattes sont terminées par de grandes griffes. Il est debout,
la tête retournée vers sa croupe, son cou semble garni d'écailles, sa tête pourrait être celle d'un lion, elle porte deux petites oreilles, sa
queue est enroulée au-dessus de sa tête.
A gauche: un autre animal fabuleux. Il est nu, debout sur ses pattes arrières qui ont des très grands pieds, les pattes avantss sont
tendues vers le devant. Sa tête est celle d'un bovidé avec des poreilles correspondantes à ce genre d'aniaml, il y a dans le regard quelque chose de craintif. Sa queue passe entre ses pattes arrières et se termine au-dessus de son dos en une large grandes feuille.
Ces chapiteaux ne sont pas romans mais du XVe siècle.
Réflexion du chapiteau, rien à dire.
Chapiteaux du portail
Côté gauche
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1 - Vous voyez ici un monstre armé d'une lance (cassée) et d'un bouclier. C'est bien un monstre malgré que sa tête soit érodée, vous
voyez quand même une longue queue qui permet de dire que ce n'est pas un humain. C'est juste le premier chapiteau à côté du portail d'en-
trée, en garde-t-il l'entrée ? De chaque côté de lui deux grands champignons de feuillage superposés.
Entre ses pattes un énorme sexe cassé.
2 développé
2 - Sur ce chapiteau vous pouvez voir un entrelace de rameaux de feuillages sans autre particularité.
Côté droit
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5 6
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5 - Comme le chapiteau n°1, on retrouve un gardien du temple représenté par ce monstre, lui aussi il a une grande queue. Il est armé
d'une lance et d'un bouclier sur lequel vous pouvez apercevoir ce qui reste d'une croix. Il est entouré de feuillages.
Réflexion du chapiteau, rien à dire.
6 - Chapiteau avec rameaux de feuillages
Réflexion du chapiteau, rien à dire.
Chapiteaux de l'arcade aveugle gauche
Partie inférieure gauche
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3
3 - 4 - Chapiteaux ornés de feuillages.
Partie supérieure
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9 - Vous voyez sur ce chapiteau une scène de condamnation d'un péché luxurieux. En effet, sur l'angle du chapiteau vous voyez
un couple, on peut imaginer qu'ils s'embrassent, mais vous voyez aussi que la femme, à droite, prend dans sa main le sexe de son
compagnon, à gauche, pour l'approcher du sien (sexe).
Sur la gauche, un prêtre tient dans ses mains levées les instruments de la puissance divine, dans sa main gauche une croix, dans
sa main droite un genre de sceptre. Il les brandit en signe de bannissement de l'acte représenté devant lui. Sur l'autre côté, derrière la
femme, un palmier qui doit figurer la Paradis. Donc ceux qui commettent cet acte ne seront pas admis au Paradis.
Réflexion du chapiteau, l'explication est valable.
Cette scène est souvent représentée sur certains modillons comme à:
Champagnolles (17) Saignes (15) Perse-Espalion (12)
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10 - Vous voyez ici à gauche, un palmier, arbre sacré. On offrit au Christ une branche de palmier à son entrée à Jérusalem,
symbole de victoire. A droite, côté du mal, un bel arbre d'où descend un serpent qui monte dans l'arbre pour accomplir plus tard son
méfait (le serpent d'Eve). Il passe entre les jambes du personnage et retourne sa tête vers lui. Au centre un personnage tient dans sa main
gauche le serpent et dans sa main droite un objet dont l'extrémité a une forme Y, est-ce un bâton pour immobilisé le serpent ?
Réflexion du chapiteau, c'est valable.
Chapiteaux de l'arcade aveugle droite
Partie inférieure
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7 - Vous voyez sur ce chapiteau un animal dont la tête est cassée, nous ne pouvons pas l'identifier. Il est représenté le ventre en
l'air, les pattes arrière appuyées contre le mur, les pattes avants sont aussi cassées. Sur le côté droit un lièvre debout sur ses pattes avants.
Nous allons retrouver ce lièvre sur le chapiteau d'en face. Le lièvre est un symbole de l'amour (parfois appelé "l'animal
deVénus",du renouvellement perpétuel de la vie. Certains écrivent que le lièvre est symboliquement associé à la puberté, qui n'a plus
d'excuses de l'enfance, mais en produit les premiers fruits
Sa grande fécondité et sa disposition quasi permanente à l'accouchement en font un symbole de la Luxure. Dans le
Deutéronome et le Lévitique, il est stigmatisé et interdit comme impur
D - 14-7 - "Seulement, de ceci vous ne mangerez pas, d'entre celles qui ruminent et d'entre celles qui ont l'ongle fendu et
divisé: le chameau et le lièvre, et le daman; car ils ruminent, mais ils n'ont pas d'ongle fendu; ils vous sont impurs".
Le lièvre blanc couché aux pieds de Marie incarne la victoire sur la tentation de la chair.
Par contre d'après Pline, il serait d'une grande utilité pour les femmes, la chair du lièvre rendrait fécondes celles qui sont stériles.
Apollonios de Tyane recommandait de faire trois fois le tour de la maison où avait lieu une naissance, en portant un lièvre dans
ses bras afin de faciliter l'accouchement.
Réflexion du chapiteau, rien à dire.
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8 - Chapiteau identique au n°7, l'animal est aussi cassé, mais on voit entre ses pattes arrières sa queue qui revient sur son flanc,
l'extrémité est en forme de pointe de lance, ce qui laisse supposé que ces animaux étaient des lions. Celui-ci a la patte avant droite levée
comme pour faire un signe de salut, la gauche est sur le sol. Le lièvre est aussi présent et dans la même position. La symbolique doit être
la même.
Le lion est un symbole de résurrection, du renouvellement de la vie, symbole qui coïncide avec celui du lièvre, celan'est sûrement
upas hasard.
Surtout comme vous pouvez le voir ce symbole se répète sur le chapiteau qui lui fait face.
Réflexion du chapiteau, d'habitude ce sont deux lions qui ont cette attitude, le sculpteur n'a-t-il pas eu assez de place ? A-t-il
remplacé le deuxième lion par un lièvre ?.
Ussons (86) Trizay (17)
Partie supérieure
Côté gauche
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11 - Vous voyez encore deux lions qui chacun de son côté monte la garde devant une représentation du " Repas chez
Simon". Ils se mordent la patte arrière gauche, la queue entoure la cuisse droite.
Réflexion du chapiteau, rien à dire.
Côté droit
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12 - Mêmes lions, la position est différente, ici il passe la tête entre les jambes avants pour venir se morde la patte arrière gauche
Sur la nuque on peut voir ce qui reste d'un feuillage.
A remarquer aussi cette petite tête humaine avec son bras qui se trouve à l'arrière de ce lion, celui de droite. Et à gauche ces trois
petites têtes à côté de l'épaule gauche du lion.
Peut être des compagnons du sculpteur ?
Il existe à Foussais-Payré une sirène, elle se trouve sur l'archivolte du portail, en bas à droite, au-dessus d'un animal fantastique.
Cette sirène a une seule queue, une grande mèche de cheveux s'enroulant autour de son avant bras gauche. Le bras droit est levé à l'équerre,
la main tient un poisson par le ventre, le bout de sa tête venant toucher son oreille droite.
A l'intérieur de l'église deux culs-de-lampe ont attiré notre attention.
Vous voyez ici le buste d'un personnage qui semble avoir un nimbe derrière la tête. Il brandit dans sa main droite un bâton noueux,
dans sa main gauche l'objet est cassé.
" Moïse ordonna aux chefs des lignées que chacun apporta sa verge, où le nom de chaque lignée fut écrit, et que la
sacrificature demeurerait à celui, en la verge duquel Dieu aurait montré ouvertement quelques signes. Après que cette opinion eut
semblé bonne à tous, les autres des onze lignées apportèrent leurs verges où les noms des onze lignées étaient écrit, et Aaron
apporta aussi la sienne, ou le nom de Lévi était écreit. Moïse les pris toutes, et les posa au tabernacle. Le jour suivant toutes furent
produites, et n'y en avait pas une, qui ne pu être facilement discernée; car tant les chefs qui les avaient apportées, que le reste du
peuple, les avaient marquées. Et on vit les onze demeurer en la même sorte, qu'elles y avaient été apportées, quand Moïse les pris.
Mais on aperçu sortir de celle d'Aaron des rameaux et boutons, et outr cela des amendes mures; d'autant que la verge était d'un
amandier..."
Celui-ci représente un porc, cet animal est le symbole des tendances obscures, de la voracité, de l'ignorance, de la luxure et de
la cupidité; L'usage de telle viande note Saint-Clément, est réservé à ceux qui vivent sensuellement.